La LDH déplore la décision de la Cour de cassation qui annule la condamnation de M. Vanneste pour des propos homophobes, particulièrement la prétendue « infériorité morale » de l'homosexualité, en considérant que ceux-ci ne dépassaient pas la limite permise de la liberté d'expression.
Si la jurisprudence de la CEDH considère que le débat politique permet d'échanger des arguments vifs et des idées qui choquent, peut-on tolérer qu'un élu de la République profère une expression (...)
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Ligue des Droits de l'Homme
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Christian Vanneste