« Qu’on arrête de dire « je », mais qu’on dise « nous », Martine Aubry, i-télé.
« Patrick Devedjian est un ami que j’aime beaucoup, et qui n’est vraiment pas à la fête. Il a autour de lui des gens qui ne le ménagent pas. » Claude Goasguen, Canal +.
“Je ne souhaite pas voir un PS éclaté avec en son sein une compétition permanente pour être le plus à gauche ou le plus au centre possible.” François Fillon, Le Parisien.
« On voit bien pourquoi ceux qui veulent devenir présidents de la République veulent devenir patrons de l’UMP. » Patrick Devedjian, LCI.
« Là n’est pas le sujet. La priorité pour les Français, c’est : qu’est-ce que l’on fait pour eux ? L’organisation des partis est certes importante, mais là n’est pas l’essentiel. » Xavier Bertrand, LCI.
« Une motion doit nettement se détacher et un vainqueur être proclamé. Si tel n’est pas le cas, le PS risque d’être ingouvernable et réduit aux combinaisons et aux arrangements. » François Hollande, Le Parisien
« Nicolas Sarkozy est le président de tous les Français. Point final. » Dominique Paillé, Le Figaro.
« Il faut un État préventif qui change les rapports de force et non pas, comme dans la social-démocratie un État secouriste qui ne remet pas en cause le système. » Ségolène Royal, Le Parisien.
“Ségolène Royal a gagné le congrès socialiste, il faut qu’ils se fassent une raison.” Jean-Luc Mélenchon, Canal +.
« Il ne faut pas seulement arriver en tête, il faut être capable de rassembler sur une ligne politique, il ne suffit pas d’être devant. » Martine Aubry, Grand jury RTL-LCI-Le Figaro.
« La première menace contre les droits de l’Homme, c’est de laisser le champ libre aux populismes. » Nicolas Sarkozy, AFP.
« Si c’est l’émiettement, la dispersion, je crains un petit peu les combinaisons. » Bertrand Delanoë, Europe 1.
“Je mets de côté toutes les questions de personne, je ne parle que du fond.” Bertrand Delanoë, AFP.
« On se dit que y’a du chemin pour que le parti socialiste évolue », Frédéric Lefebvre, i-télé.