Sous les lambris, les ors et les fastes des capitales fédérales Berne et Zurich, Bâle parfois, on rencontre toujours les mêmes tronches qui semblent toujours s’amuser de tout et rien, même en plein marasme économique.
Faut dire qu’ils se sont servis avant les autres, si on peut dire, et que mieux que l’écureuil français, ils en ont mis sous contrôle pour les mauvais jours.
Ceci dit, le titre de l’image dont un lecteur a bien voulu me transmettre le lien suggère que l’Evangile selon Blocher, Ospel et les autres apôtres suisses-alémaniques du laisser-faire se chante même sous la coupole fédérale.
A visiter sans modération, c’est par ici …
NB: le tronc de cette joyeuse église nouvelle, à gauche sur la photo, semble plutôt bien approvisionné