Récapitulons les règles de l’écriture pour le web :
- Des titres de billets succincts, et orientés “mot clés”, afin de cibler deux objectifs : les moteurs de recherche et les lecteurs de flux RSS.
- Ecrire pour le web de manière informelle mais soignée.
- Donner un ton à votre blog, appuyer un point de vue.
- Proposer des liens vers l’extérieur, s’ouvrir à votre univers thématique en donnant du crédit à d’autres blogueurs.
- Utiliser des espaces blancs, aérer vos billets pour favoriser la lecture à l’écran et la scannabilité (utilisation de listes à puce, de l’indentation du texte, de l’emphase gras, de l’italique, de sous-titres et d’images, graphiques et dessins).
- Avant de publier, il est préférable de se corriger, pour éviter les répétitions et un style trop informel.
Certains blogueurs expérimentés préconisent d’écrire d’abord son billet sans penser “mot clés”, pour ensuite le retravailler en fonction des mots clés ciblés. Lorsque Debbie Weil nous conseille de bien penser notre arborescence, cela sous-tend, je pense, l’idée de se créer son propre inventaire de mots clés en fonction des thématiques abordées. Sur le long-terme, votre blog devrait bien se comporter sémantiquement, au service de votre visibilité naturelle. Des outils comme le générateur de mots clés Google AdWords permettent de travailler sereinement sur le long-terme. L’analyse sémantique de la concurrence est également un indicateur intéressant.
Trouver un ton reste l’élément le plus difficile dans la mesure où il est lié à l’expertise et le recul de son auteur vis-à-vis du sujet. J’avoue avoir quelques difficultés à ce sujet, ce qui ne m’empêche de prendre du plaisir à écrire. Pourvu que cela dure !