Dérapage incontrôlé et chute dans le fossé, Laurence Ferrari ne saurait éviter sa candidature presque accidentelle, mais la signalisation (et les signes) ne trompe pas et n’aura pas suffit à lui épargner la collision avec sa pierre tombale.
On l’attendait au tournant après avoir agrippé le fauteuil encore chaud de feu-PPDA (ndlr. je sais j’anticipe) et ça n’aura pas loupé… “gravier !” comme dirait notre camarade Jean Alési (ndlr. Jean Alési, qui vous l’aurez noté a disparu de la circulation). Mettons un frein à toute rumeur, mettons nous sur le bas côté et allumons les warnings.
Analysons sa candidature :
Signes précurseurs
- Chute d’audience vertigineuse… le démarrage en côte n’est clairement pas sa spécialité.
- Se spécialise dans la vidange (ndlr. élégance quand tu nous tiens), Laurence Ferrari flirt à tout va et zig zag d’amant en amant… de collègue en président… (ndlr. Les histoires d’amour finissent mal…)
Facteurs aggravants
- Suicide de sa mère
- Vouée à un destin tragique et à la panne sèche (ndlr. saluons au passage Lolo Ferrari et remercions son époux qui a sut l’accompagner dignement vers la ligne d’arrivée)
- Déficience visuelle, elle a souvent servi de doublure à Claire Chazale sans se rendre compte du manque flagrant de ressemblance.
- Parcours garanti vers la casse, Laurence Ferrari a su bien s’entourer et travailler avec les plus grands (ndlr. nos chouchoux… A la rédaction, nous n’aimons pas l’avouer mais nous ne pouvons nous empêcher de savoir reconnaître les GRANDS du Nécroblog) : Christophe Dechavanne, Jean-Pierre Pernaut et l’inévitable Michel Drucker (ndlr. Michel, on t’aime)