Mon fidèle couteau suisse
Je ne sais plus depuis combien de temps je l'ai mais je sais qu'il m'a rendu de fiers services. Un classique que j'ai voulu partager en version noire avec mon filleuil lors de sa communion. J'espère qu'il en prendra soin et le gardera de longues années... Je lui ai offert en pensant à tout ce que cet objet pouvait symboliser de patrimoine, de responsabilités, d'autonomie.
Mon couteau dit de chasse.
Je n'y connais rien en typologie de coutellerie mais j'aime ce couteau que je me suis fait offrir par ma mère (!). Malheureusement il est un peu lourd pour mon sac à main et pas franchement pratique au quotidien. Mais j'aime le sortir de temps en temps, j'aime justement son poids, sa bonne prise en main, et la chaleur de sa corne. Je l'ai choisi pour son côté massif et sa lame un peu agressive.
Le couteau de mon grand-père
Je viens juste de l'acquérir et je l'aime énormément. Il était là encore ouvert la lame sale de la dernière pomme qu'il avait coupé... Il était là et personne n'y prêtait attention. Depuis je l'ai nettoyé, graissé, et je vais sans doute le faire affûter par mon coutelier. Il est tout en inox, donc léger, avec une prise en main agréable car tout plat. J'aime son motif ancien de rayures et losanges, très élégant. Et tous ses petits défauts qui racontent autant ce qu'il a souffert que ce qu'il a été chouchouté. J'ai décidé d'en faire mon nouveau couteau suisse.
Le couteau du garage
Je l'ai retrouvé dans le garage de mon grand-père accroché au mur. C'était le couteau du jardin, et de tous les rafistolages maison. Sa corne est toute racornie, il lui manque quelques lames, et il a bénéficié d'une solide bague le condamnant à rester ouvert comme toujours au garde à vous prêt pour toute mission de jardinage. Il est moche mais lui aussi je l'aime... Mon arrière grand-père a dû l'utiliser aussi.