Que les couleurs de la nature son belles, cet automne ! Avec mon petit appareil photo tout simple, j'ai eu plaisir à arpenter mon quartier pour les saisir avant qu'elles ne s'échappent. Je n'ai pas souvenir que c'était si beau, les années précédentes. Elles illustreront mes réponses aux deux tags qui suivent (oui, deux d'un coup !), venus de la signorina Aurelia pour le premier, du blog Coin-coin Gourmand, de Marjolaine pour le second, de Popote et Casseroles. Vous avez de quoi lire, des fois que vous vous ennuieriez aujourd'hui...
Un des mes nombreux traits de caractère : L’indécision, comme toute native de la Balance qui se respecte. Je vis une lutte constante entre mon instinct et ma raison qui, le plus souvent, se contredisent.
Une de mes qualités : heureusement, une fois que je suis décidée, rien ne m’arrête et je ne regarde pas en arrière.
Mon occupation préférée : ça dépend des jours et de mon humeur...
Les qualités qu’ont selon moi les grands cuisiniers et cuisinières : la passion, l'ambition, le sens des affaires, le génie, ce dernier accompagné comme toujours d'un grain de folie qui les fait parfois tomber dans le ridicule.
Un plat qui me met l’eau à la bouche : une tarte aux légumes, pour n'en citer qu'un
Mes mots favoris : les mots longs aux sonorités marquées, tels que hurluberlu ou rhododendron, les mots du vieux français, les mots spécifiques aux québecois que nous n’utilisons pas ici et qui sont si charmants.
Ce que je déteste par-dessus-tout : les imprévus, les embouteillages, les cafards, le froid, les chanteurs à la voix fluette (autant dire que je n’écoute pas beaucoup la radio), les mollusques, les abats (quelle tristesse…), le ketchup, les navets, les betteraves, me lever tôt quand il fait encore nuit… et plein d’autres choses encore.
Si j’étais une saison : l’été, plus précisément, la fin de l’été
Si j’étais un plat : Un assortiment de petits fours salés et sucrés, mélange de saveurs et couleurs.
Si j’étais un animal : un chat, c’est aussi mon signe chînois. Ou bien un loup (j’ai rêvé une nuit que j’en étais un, c’était magique)
Si j’étais une chanson : «Si tu savais», de Yannick Noah
Si j’étais une couleur : Le vert, ma couleur préférée depuis des années, celle qui me va le mieux, aussi.
Si j’étais un roman : Les Dames du Lac
Si j’étais une légende : euh ?
Si j’étais un personnage de fiction : Fifi Brindacier
Si j’étais un film : Abyss
Si j’étais un dessin animé : Le roi Lion
Si j’étais une arme : une épée, c’est plus chic qu’un revolver. Ou bien un poison mortel comme dans les romans d’Agatha Christie, hé hé
Si j’étais un endroit : une plage en bord d’océan, ou une forêt profonde
Si j’étais une devise : le mieux est l’ennemi du bien
Si j’étais un oiseau : un oiseau exotique aux couleurs vives ou un oiseau migrateur
Si j’étais un air : l’air du large ?
Si j’étais un élément : eau, feu, air ? comment choisir ? Je suis tout cela à la fois. Je suis même un peu terre aussi, parfois (mais moins souvent).
Si j’étais un végétal : une ronce... Je plaisante. Plutôt une plante grasse, je les adore.
Si j’étais un fruit : une mangue, ou bien la succulente cerise noire dont on fait les fameuses confitures du Pays Basque
Si j’étais un bruit : une eau de source qui coule dans la montagne
Si j’étais un climat : doux et ensoleillé, un peu humide. Ni trop chaud, ni trop froid.
Si j’étais un loisir : la balade en pleine nature, loin du bruit et de la pollution des villes
Si j’étais une planète : Uranus. Pourtant, je déteste les imprévus. Mais elle est symbolise la liberté qui m’est si chère.
Si j’étais un vêtement : Une petite robe de plage de couleur acidulée
Si j’étais un sous-vêtement : Une chaussette, pour la frileuse que je suis.
Si j’étais une pièce : un bureau avec un ordi, internet, des étagères pleines de bouquins en tout genre, une baie vitrée donnant sur une nature superbe. A côté de l’ordi, il y a une tasse de thé chaud et des biscuits. Et tout autour, plusieurs chats qui se prélassent sur des coussins ou des plaids.
Si j’étais un véhicule : dans le temps, j’aurais dit une DS, fabuleuse bagnole que j’ai bien connue dans mon enfance. Maintenant, je dirais plutôt un vélo, ça ne pollue pas !
Si j’étais un adverbe de temps : demain
Si j’étais un métier : psychologue, ou bien infographiste
Si j’étais un instrument de musique : une batterie
Si j’étais un pays : un pays d’Asie pour l’harmonie des paysages, les temples, la nourriture et les moines bouddhistes.
Si j’étais un sentiment : la joie
Si j’étais une pierre précieuse : une aigue-marine
Si j’étais une année : ce sera une année qui aura vu avancer la cause féminine
Si j’étais un défaut : l’hypersensibilité
Si j’étais une qualité : L’indépendance.
Si j’étais un art : Le théâtre
Si j’étais une langue : le russe
Si j’étais un alcool : un vin cuit, en tout cas quelque chose de doux. Surtout pas un alcool fort.
Si j’étais des chaussures : des tongues colorées et pas chères pour les vacances
Si j’étais un accessoire : des lunettes de soleil pour mes yeux sensibles
Si j’étais une religion : le protestantisme.
Si j’étais un acteur : Philippe Noiret
Si j’étais une actrice : Audrey Hepburn
Si j’étais un chanteur : Daniel Balavoine
Si j’étais une chanteuse : Tina Arena ou Tina Turner
Si j’étais un prénom féminin : euh ? Pas le mien en tout cas.
Si j’étais un prénom masculin : re-euh ?
Si j’étais un tatouage : aucun, pour moi le tatouage est une auto-mutilation. Je respecte ma peau.
Si j’étais un piercing : idem que ci-dessus.
Si j’étais une fête : Noël, pour le petit Jésus glissé dans la crèche. Ou la Chandeleur, pour les crèpes
Si j’étais une constellation aucune idée, je n’y connais rien en constellations
Si j’étais une BD : Gaston Lagaffe, il me fait trop rire
Si j’étais un monstre : je ne sais pas si on peut appeler ça un monstre… je serais un fantôme qui hanterait les vieux châteaux et je ferais peur aux visiteurs, hi hi…
Si j’étais une question : j’aurai l’air de quoi quand je serai vieille ?
Si j’étais une prophétie : ce siècle connaîtra des bouleversements majeurs et peut-être dramatiques dans notre façon de vivre. Mais la plupart des gens n’en ont pas encore conscience.
Si j’étais un lieu sacré : L’océan. Pour moi, il est sacré.
Si j’étais un mal : Le doute qui s’insinue au mauvais moment dans l’esprit
Si j’étais un songe : voler comme un oiseau, un rêve que je fais souvent
Si j’étais un monument : un temple, qu'il soit grec, inca, hindou....
Si j’étais une ville : un petit village typique, très ancien, tout en vieilles pierres blanches ou rosées, où la vie coule lentement, sous un joli soleil, avec des rues montantes et descendantes, tarabiscotées, pleines de charme. Mais avec des panneaux solaires discrètement enchâssés sur les toits et des récupérateurs d’eau de pluie.
Si j’étais un jeu : Qui veut gagner des millions ?
Si j’étais un chiffre : le 9
Si j’étais un crime : il sera perpétré dans l'un de ces romans policiers que j'aime tant
Si j’étais un phénomène naturel : L’inondation, qui symbolise les flots d’émotion dont je suis parfois capable.
Si j’étais un péché capital : la gourmandise, évidemment
Si j’étais un insecte : beuh, je me ferais vite bouffer par un oiseau pour me réincarner en quelque chose de plus sympathique et joli !
Si j’étais une maladie : la lombalgie, que j’ai trop bien connue, malheureusement
Si j’étais un parfum de glace : pistache, pour sa couleur
Si j’étais un endroit du corps : le cerveau, là où ça cogite
Si j’étais un mois de l’année : septembre, pour les belles journées, moins farcies de touristes
Si j’étais un jour de l’année : un jour d’hiver où il fait soudain si beau et si doux qu’on ressort momentanément les tee-shirts, comme c’est parfois le cas au Pays Basque, avec l’effet de foehn.
Si j’étais un verbe : Ressentir
Si j’étais une fleur : Un œillet aux couleurs variées, très odorant
Si j’étais une danse : le disco, qui a marqué mon adolescence. Je suis heureuse d’avoir eu la chance de vivre cette période à part, colorée, joyeuse, pailletée, animée, rythmée, complètement fofolle et réjouissante !.... une époque révolue.
Je ne sais pas trop qui désigner pour répondre après moi à ces tags... Que ceux et celles qui sont tentés se lancent sans hésiter ! Vu le temps passé, ce sera une occupation parfaite pour les soirs où il n'y a rien à la télé, ou lors d'un voyage en train.