Sur le site du journal francais Lemonde.fr, on apprends dans un article de Nabil Wakim que Ségolène Royal serait (enfin) candidate au poste de premier sécrétaire (un titre sorti de l’âge des ténêbres) du parti socialiste. Et c’est Manuel Valls, député socialiste et soutien de l’ancienne candidate qui a mis fin aux “rumeurs”.
À la fin de l’article, il s’en suit plusieurs échanges entre pro et anti Royal, pro et anti Aubry, pro motion A, anti motion E, bref entre socialistes. Et chacun y va de sa parabole .
Extrait palpitant :
“Segolène, Bertrand, Martine, Benoit … ils sont tous socialistes. Ils font le même “plat” avec les mêmes ingrédients. Seulement il ne font pas les mêmes dosages et coté assaisonnement ils ont la main plus ou moins lourde. Et pour cela ils se chipottent?”
Pendant ce temps, la droite francaise… se lâche :
“Il faut que le PS choisisse une ligne politique, qu’il s’y tienne, et que puisse s’engager un débat dans le pays, qu’on puisse avoir face à nous un vrai leader au lieu de cinq ou six interlocuteurs à la fois”
“Je ne souhaite pas voir un PS éclaté avec en son sein une compétition permanente pour être le plus à gauche ou le plus au centre possible”
Dixit, Francois Filion (accessoirement premier ministre) mais qui là s’exprimait ”en tant que citoyen”.
Ouach !