Dell et Intel, fleurons de la hight-tech américaine, prennent la crise au sérieux. Chez Dell, c'est une lettre adressée par Michael Dell aux employés du fabricant d'ordinateurs, dans laquelle il les incite à prendre quelques jours de congé sans solde, réduire leurs couts de fonctionnement, et invite ceux qui le déisrent à quitter la boite. Chez Intel, c'est une baisse anticipée du chiffre d'affaires de l'ordre de 10%, en prévision d'un ralentissement chez leurs clients.