Ma copine Chris nous expliquait dernièrement que, lorsqu'elle était petite, elle était pompom girl.
Des pompons, des jupettes courtes et de jolis minoits ... pour moi c'était tout ! Ignorante que je suis : aux States, royaume du "toujours plus haut, toujours plus fort", pompom girl est devenu l'une des activités les plus dangereuses ! C'est ce que nous explique le Courrier International : Véritables institutions pour la jeunesse américaine, aussi incontournables que les tartes aux myrtilles et les cinémas drive-in, les pom-pom girls sont une espèce menacée. Certaines études révèlent en effet que, derrière leurs sourires éclatants et leurs costumes de lumière, les pom-pom girls sont en réalité plus exposées au risque de blessures graves que les joueurs de football américain. Non contentes de soutenir leur équipe, les filles se sont lancées dans une course aux acrobaties incluant des jetés et des portés dignes de compétitions de haut niveau. Ce passe-temps n’étant pas enregistré comme un sport homologué, les pom-pom girls troquent régulièrement leurs pompons contre une paire de béquilles, des attelles et des packs de glace. Certaines ont même perdu la vie en exerçant cette activité de plus en plus dangereuse.
Horrifiées par le nombre croissant de “blessures dramatiques”, certaines associations ont décidé de prendre des mesures. Selon les chiffres du NCCSI (National Centre for Catastrophic Sport Injuries), entre 1982 et 2007, deux tiers des accidents liés à une activité sportive chez les jeunes filles de niveau universitaire étaient recensés chez les pom-pom girls, avec 67 cas de décès ou de grave traumatisme. En moyenne, 2,68 pom-pom girls sur 100 000 sont victimes d’accidents entraînant une paralysie ou un handicap, soit un chiffre supérieur à celui des joueurs de football américain, où les accidents mortels sont plus nombreux mais les blessures graves moins fréquentes. Près de 30 000 pom-pom girls arrivent chaque année aux urgences. Quand on rajoute à tout ça les crasses que les minettes doivent se faire entre elles pour être les plus aimées, les plus jolies, les plus populaires ... Il devrait exister une prime de risque pour ces filles !
Horrifiées par le nombre croissant de “blessures dramatiques”, certaines associations ont décidé de prendre des mesures. Selon les chiffres du NCCSI (National Centre for Catastrophic Sport Injuries), entre 1982 et 2007, deux tiers des accidents liés à une activité sportive chez les jeunes filles de niveau universitaire étaient recensés chez les pom-pom girls, avec 67 cas de décès ou de grave traumatisme. En moyenne, 2,68 pom-pom girls sur 100 000 sont victimes d’accidents entraînant une paralysie ou un handicap, soit un chiffre supérieur à celui des joueurs de football américain, où les accidents mortels sont plus nombreux mais les blessures graves moins fréquentes. Près de 30 000 pom-pom girls arrivent chaque année aux urgences. Quand on rajoute à tout ça les crasses que les minettes doivent se faire entre elles pour être les plus aimées, les plus jolies, les plus populaires ... Il devrait exister une prime de risque pour ces filles !