Depuis quelques années, je suis épatée par l’inventivité des pâtissiers qui imaginent des macarons aux arômes toujours plus délirants, mais qui surtout sont souvent réussis et ne ressemblent pas à un curieux mélange de saveurs. Et puis il faut souligner que derrière le talent de ces artistes des fourneaux, il y a eu un joli petit coup de marketing pour savoir décliner à l’inifini les couleurs de l’arc-en-ciel en boite de 12 macarons. Un jeu auquel le maître Ladurée et été rattrapé si ce n’est dépassé par quelques grands noms de la cuisine. C’est d’ailleurs le piège du macaron : c’est tellement mignon qu’on ne s’en méfie pas alors que question régime, ce n’est pas la référence.