- plus de recherche sur les embryons, en levant les restrictions existantes
- moins de restrictions dans l'assistance médicale à la procréation (AMP)
Bref, plus on tue des embryons, plus on ferait avancer la science, si l'on en croit l'Agence de biomédecine. Il s'agit malheureusement d'une contribution majeure à la préparation de la révision de la loi de bioéthique du 6 août 2004.