Je lis sur ce blog (qui comme pas mal d’autres blogs de journalistes gastronomiques ne propose pas assez de contenu personnel et se contente de simplement remanier rapidement de l’information de type communiqué de presse ou dépêche AFP), que les produits tripiers, grâce à leur prix plus faible que les autres morceaux de viande, tirent leur épingle du jeu et profitent de la crise pour améliorer leurs parts de marché.
On apprend notamment que c’est le CNTF (Confédération nationale des tripiers de France) qui a remplacé le terme abat par produit tripier. Du marketing et de la propagande, un peu comme le bio?