A l’inverse, l’État US prend de véritables participations dans les banques en question.
On ne sait pas encore vraiment le pourquoi de ce revirement à 180 degrés mais on l’imagine aisément : techniquement les chiffons/déchets/machins toxiques ne valant vraiment plus un clou, on ne peut même pas les acheter, car ils n’ont plus aucune valeur marchande comptabilisable : ce ne serait donc que des “dons” sans contrepartie effectués par les banques … subtiles.
Alors petite question aux édiles helvètes qui ont tenté de copier bêtement ce plan pour l’appliquer à l’UBS ? tant qu’à donner dans la nationalisation pure et simple, même au pays de George W., pourquoi ne pas suivre cette voie en Suisse plutôt.
Elle a au moins le mérite de ne pas trop ressembler à un énorme cadeau de Noël injustifiable et inéquitable.