Quelques jours avant la rentrée, j'avais terminé la lecture de L'ensorcelée de Barbey d'Aurevilly. J'ai pourtant choisi de ne pas en parler pour une raison toute simple : bien que la lecture m'aie plu, j'ai un peu de mal à la comprendre et à la cerner. Non pas que j'estime d'habitude saisir les sens des oeuvres que je chronique, mais dans ce cas précis, une incertitude, une gêne demeure, et je