... revint, la jambe lourde mais l'esprit léger, de sa promenade onzo-novembro-mardinale au pays merveilleux des Lacaunes (NDLRDS: à ne pas confondre avec le voyage du même nom, qui, lui, se termine demain - on serait vous on éviterait de lui demander si elle a préparé sa valise), elle s'empressât, une fois les retouches photoshopales d'usage effectuées, et autant que ses neurones fatigués le pouvaient, de publier sur Soliblog les quelques photographies qu'elle avait réussi - et non réussies, je sais... - à prendre - mais avez-vous seulement conscience, inconscients lecteurs (NDLRDS: il semblerait qu'elle pense que non) confortablement installés devant vos ordinateurs, du temps que ces misérables clichés ont nécessité - des années des mois des heures !, tapie dans les fourrés, glacée et trempée par le traître crachin novembral, stoïque (même pas peur !) face aux vaches qui de leur museau humide n'ont pourtant cessé de venir tâter de la webmaistre, surtout ne pas faire de bruit, attendre, attendre, attendre et espérer que les brebis se montreront enfin... ? Hum ? HUM ? (NDLRDS: vu l'état dans lequel elle est, cf. son "HUM", on vous conseille de répondre oui). Et c'est alors que je ne les attendais plus (c'est toujours comme ça, je sais... oui, j'ai attendu pour rien, je sais... mais avez vous seulement conscience et cætera et cætera) que sortirent du bois deux brebis, une Lacaune et une... autre.Bientôt elles furent quatre, trois Lacaunes et... l'autre.
Leur nombre ne cessait de croître: des Lacaunes, des... autres. De joie je criai; je fus aussitôt repérée (si si, regardez-mieux, la Lacaune sur la gauche).
J'étais faite. Las ! Je battis en retraite. Les Lacaunes et les... autres continuèrent à paître.'Clic clic clic' font les lecteurs cliquant sur les photographies, attirés qu'ils sont par les superbes Lacaunes et intrigués, aussi, par ces mystérieuses autres brebis.