Je vous écris d'Argentine

Publié le 10 novembre 2008 par Didier54 @Partages
Le tourisme de masse kérosène, aussi je me dois à la confession. J'ai profité. A fond. Sans bouger un poil de ma chaise. Dimanche, lundi, j'ai voyagé depuis chez moi.
J'ai par exemple longuement frissonné au pied des glaciers, esbaudi par ce blanc et ce bleu. Je me suis senti tout petit au pied de la falaise de glace.
Je me suis laissé éclabousser sans me lasser au pied de chutes vertigineuses hautes de soixante et étalées sur des centaines de mètres. Et que ça tourbillonnait la dedans, et que ça jailaissait brun et blanc, que ça brumisait, nom de zeus.
J'ai aperçu la majestuosité des baleines, celle qui laisse sans voix, j'ai aimé le baleineau albinos nageant sur le dos de sa mère et semblant danser. J'ai scruté des pingouins et des condors, espionné des lions de mer, patribulaires.
J'ai regardé Maradona peint sur le mur du stade, vu un castor et des herbes folles, écouté du tango, arpenté les rues du bout du monde, regardé des enfants jouer, observé quelques rues. J'ai voyagé. En Argentine. Du nord au sud. L'hyper sud. C'était bien. Merci maman.
Vous salivez ? Vous voulez voir ça de vos yeux vus ?
Allez, cadeau, c'est de saison ! Je vous invite à visionner le petit diaporama ci-dessous. Bonne route !


Ambiance sonore
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