En cette époque de web 2.0, réseaux sociaux et autres bizarreries Internet, il est de bon ton d’être membre de multitudes de sites plus ou moins fermés, dont la seule vocation est de nous mettre en relation.
Comme la page “à propos” de ce site l’indique, je suis membre de LinkedIn et Viadeo et j’ai aussi succombé aux charmes de Twitter.
photo credit: brainchildvn
Je ne parlerais pas de ma participation à quelques forums ni à mon inscription sur Copains d’Avant…
J’ai donc, comme beaucoup d’entre vous, des centaines d’amis.
Par contre, j’ai un souci. Je ne sais pas qui ils sont. Leur nom ne me dit rien et je ne sais pas trop d’où ils viennent.
La bonne nouvelle est que je viens de découvrir pourquoi. C’est de la faute des Anglais.
L’antropologue Robin Dunbar a calculé en 1993 qu’un humain ne pouvait pas entretenir de relation stable avec plus de 150 personnes. C’est ce que l’on appelle le Nombre de Dunbar.
Maintenant que la vérité est publiée, peut-on encore voir un avenir dans le web 2.0 et les réseaux sociaux ?