Dans l'Oignon, faute d'anciens combattants de 14 sous la main, on se rend chez les femmes âgées qui étaient encore de petites enfants à l'époque afin de faire parler ces témoins de ces temps anciens. Et cela donne des choses étonnantes, car les souvenirs sont un peu confus, malgré les affirmations de la journaliste :
Elle se souvient aussi d'un autre jour funeste de cette Grande Guerre. « Nous étions à Paris le jour où la gare du Nord a été bombardée. Mes grands-parents nous ont fait quitter la capitale pour nous réfugier près de Cambrai. » C'est là qu'elle a passé le reste du conflit, relativement protégée et épargnée de la faim par la fortune des grands-parents.
Le seul problème,…