La performance des entreprises dans une société industrielle et commerciale est de savoir produire et de savoir vendre mieux et plus vite que ses concurrents. Aujourd'hui, la plupart des entreprises savent produire et vendre. C'est la raison de leur existence. Si elles n'avaient pas cette capacité, elles auraient déjà disparu. Mais de ce fait, au fil du temps, leur niveau de performance devient de plus en plus homogène.
Croître, prendre des parts de marché se fait alors plus facilement en absorbant ses concurrents. La performance des entreprises dans une société de l'information et des réseaux sociaux est de savoir mobiliser l'intelligence collective et les connaissances de ses parties prenantes (salariés, fournisseurs, clients,…). S'il faut et s'il faudra toujours savoir produire et vendre, ce n'est plus aujourd'hui un facteur suffisamment différenciateur dans la compétition internationale. Hier, l'entreprise était industrielle et commerciale, demain il faudra qu'elle soit de plus en plus une entreprise intelligente. La performance des entreprises dans une société industrielle et commerciale est de savoir produire et de savoir vendre mieux et plus vite que ses concurrents. Aujourd'hui, la plupart des entreprises savent produire et vendre. C'est la raison de leur existence. Si elles n'avaient pas cette capacité, elles auraient déjà disparu. Mais de ce fait, au fil du temps, leur niveau de performance devient de plus en plus homogène. Croître, prendre des parts de marché se fait alors plus facilement en absorbant ses concurrents. La performance des entreprises dans une société de l'information et des réseaux sociaux est de savoir mobiliser l'intelligence collective et les connaissances de ses parties prenantes (salariés, fournisseurs, clients,…). S'il faut et s'il faudra toujours savoir produire et vendre, ce n'est plus aujourd'hui un facteur suffisamment différenciateur dans la compétition internationale. Hier, l'entreprise était industrielle et commerciale, demain il faudra qu'elle soit de plus en plus une entreprise intelligente. Cette valeur construite par le collectif sera très supérieure à la simple somme des talents de chacun. L’enjeu pour les organisations est donc aujourd'hui de vouloir (culture, valeurs, croyances), de savoir (compétences) et de pouvoir (organisation, fonctionnement) mobiliser l'intelligence collective et les connaissances. Comme l'explique Richard McDermott, président de McDermott Consulting : "L’intelligence humaine dépend de connexions neuronales. L’intelligence organisationnelle, quant à elle, dépend de connexions interpersonnelles.". Ce qui est valable entre les membres d'une organisation, l'est également, d’un point de vue systémique, entre l’entreprise et son environnement. Il s'agit du concept de "l’organisation étendue" dans le cadre de relations, d'interconnexions plus nombreuses avec l’extérieur (par exemple, via les portails d’entreprises à destination de leurs fournisseurs). L'intelligence collective comprend l'organisation et le fonctionnement dynamique de tous les éléments d'une culture". Collaboration et coopération sont des termes qui induisent l’idée d’une action collective fondée sur l’entraide. On est donc dans la logique du collaboratif. L’entraide sur des activités très intellectuelles est fondée sur une logique de partage d’idées, de connaissances, d’expérience, de compétences, mais aussi sur une logique de co-construction ou co-création :Si l’entraide pour les activités peu intellectuelles fonctionne plutôt bien dans les organisations (« je te donne un coup de main et tu m’aideras à ton tour quand j’aurai besoin de toi »). Cela fonctionne beaucoup moins bien pour les activités très intellectuelles. Dans l’incapacité à diviser les problèmes, de nombreuses personnes préfèrent chercher à les résoudre toutes seules dans leur coin ou à s’en débarrasser sur quelqu’un d’autre. Les technologies de l’information et de la collaboration (Web 2.0) augmentent la performance des interactions humaines et donnent à l’information une valeur opérationnelle. Mais certains croient pouvoir développer leur intelligence collective en minimisant l'importance des logiciels, voire en les rejetant. A la résistance classique au changement s'ajoutent des raisons culturelles : goût du contact humain, communication verbale dominante,… qui sont en particulier représentatives de la culture latine.
Ecrit par: Olivier Zara
Posté par : Sophie demol
Publié sur : levidepoches/marketing
Crédit photo : Rip Hopkins
Pour plus d'informations, cliquez ci après pour lire le rapport d'innovation "La socio performance" réalisé par les membres de Courts circuits.