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Les ‘off’ de NS

Publié le 07 novembre 2008 par Angelita
Des petites phrases qu’auraient prononcées NS en privé sur certaines personnalités. Elles sont parues dans Le Point il y a quelques mois. On le sait très volubile. Voilà la compil qu’il faut avoir à portée de main.

“Depuis mon mariage avec Carla, je suis enfin devenu riche”.

“J’en ai rien à foutre, de tout ce que ces connards peuvent penser. T’as vu ma montre ?”

‘Je suis entouré de charlots à l’Elysée”.

“Je ne fais confiance à personne. Ce sont tous des nuls. Je prends mes conseils à l’extérieur.”
“Je vois des connards toute la journée. T’imagines pas les connards que je vois.”

“Si quelqu’un d’autre disait les discours d’Henri (cf. Guaino), ça paraîtrait insensé, mais comme c’est moi avec mon air sérieux, ça marche.”

“Je peux plus le supporter” (cf. François Fillon).
“Quand je vois Ségolène Royal et son affaire d’ex-collaboratrices, j’ai envie de mordre”. “Elle a eu son heure”. “Celle-là, si elle n’existait pas, il faudrait l’inventer”.

“Avect tout ce qu’il y a à faire en Europe, heureusement que Bayrou n’a pas été élu”. “Ce type est perdu, usé. Ce n’est pas le pouvoir qui use, c’est l’absence du pouvoir”.

“Même impopulaire, je continuerai. Je suis là encore pour quatre ans”.

“Ca va, hein ! D’où il vient, celui-là ? Il croit qu’il fait intelligent parce qu’il porte des lunettes”. (cf. Lilian Thuram)

“Devedjian, il casse tout ce qu’il touche”.

“Rachida, c’est un petit soldat.”

“Copé ? Le petit, il va falloir qu’il se mette un costume chaud parce que, dans les sommets, l’air est plus froid.”

“Un jour, je voudrais être président du PSG”.

Après le non Irlandais au traité de Lisbonne : “Les Irlandais devront revoter”. Démocratie quand tu nous tiens.

En ce qui concerne la Chine : “la polémique s’est calmée”

“J’ai veillé à ce que Robert Menard et ses dix clampins ne perturbent pas le défilé du 14 juillet”.

“Libé est devenu le grand défenseur des armées, c’est énorme” à la suite de l’exaspération des élus vis à vis de la carte militaire.

Présence du président syrien au défilé du 14 juillet : “Ceux qui donnent des leçons avaient des portraits dans leur chambre quand ils étaient jeunes soit de Mao, soit du Che”.


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