Le terrain, il connaît depuis ses premières armes en 1973 pendant la guerre du Kippour. Il y eut ensuite le Liban, le Chili, les Malouines, le Sierra Leone, le Liberia, j’en passe et des pires.
Inoxydable Edmond. Il y a quatre ans, il prenait sa retraite (cette génération de délégués (suisses) peut partir à 57 ans) et quittait son dernier poste, Paris. Je l’imaginais à l’époque s’installer paisible dans son canton natal, celui de Vaud, entouré des siens…
Que nenni, On The Spot Again.
Edmond a rempilé, convaincant le siège que se passer de l’expérience de vieux briscards comme lui serait vraiment dommage.
Et c’est ainsi, que depuis quatre ans il enchaîne les missions, dirigeant des opérations d’assistance et/ou de protection en Colombie, en Asie centrale, en Israel ; récemment au Yémen. D’ici la fin de l’année il devrait être en Guinée équatoriale…
je l’ai revu hier à Paris. Interview portrait : itw-edmond-corthesy-portrait-dhumanitaire.1225982208.mp3
Dans la rubrique Rions un peu avec Edmond, la séquence culte de la télé colombienne.
(*) petit grand père
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