Lestelechargements.com : suggestion à la Cour des Comptes pour son prochain rapport

Publié le 06 novembre 2008 par Jean-Marie Le Ray
J’ai souhaité ouvrir un véritable débat de société sur la propriété littéraire et artistique, l’économie de la culture, la culture elle-même.
J’ai voulu, avec le lancement de ce site, permettre le dialogue le plus concret le débat le plus large, en offrant à chacun un espace de discussion.
Ce site doit être un outil d’intérêt général, un outil de démocratie participative.
Très concrètement, comme vous allez pouvoir le découvrir dans la présentation qui va suivre, des témoignages, que je souhaite les plus nombreux possibles, d’artistes et de professionnels seront quotidiennement mis en ligne.
Tous les métiers de la création pourront s’exprimer, ceux qui sont en coulisse, ceux que l’on ne voit pas, réalisateurs, ingénieurs du son, éclairagistes, techniciens…
Chacun pourra réagir librement, la discussion aura lieu sur les forums, de nombreux « chats » seront organisés, et j’espère pouvoir y participer.
Ce site n’est pas un espace de propagande. Il est libre et n’est au service d’aucun intérêt particulier ou corporatiste.
C’est le premier site réellement pluraliste sur le sujet du téléchargement. Il n’a pas d’autre but que d’amener artistes, créateurs et internautes à s’entendre sur les modalités du téléchargement de musique et de cinéma.
Les points de vue les plus opposés pourront s’affronter, comme par exemple sur la question de la licence globale comme vous allez le constater lors d’une courte démonstration.
La transparence sera le maître mot de ce site.
Enfin, parce que la création naît de l’échange, le site proposera aux artistes qui le souhaitent de profiter de la fréquentation et de la médiatisation du site pour faire découvrir leurs créations. Un espace gratuit de téléchargement sera mise à disposition car Internet est un tremplin, un révélateur de talents, c’est une étape dans le parcours des œuvres et des artistes.
Ce site ambitieux met en valeur l’importance du débat dans notre démocratie, dans notre République, qui doivent demeurer fidèles à leurs messages et à leurs principes, dans l’ère numérique dans lequel nous nous trouvons désormais.
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