The good, the bad or the ugly?
Notons que la 2e partie de l’alternative est sans doute la plus probable, au moins pour ce qui est du déceptif.
Comme l’écrivait Timothy Garton Ash dans une tribunedatant d’il y a six mois (tribune dans laquelle il pariait, certes, sur le mauvais cheval, mais, pour autant, son analyse ne me semble pas à jeter toute entière aux orties) : "imaginons qu'Obama soit vainqueur. Dans le monde entier, les gens seraient aux anges, mais aussi pleins d'espoir. Et ce serait le premier problème du nouveau président : les attentes seraient si grandes qu'elles seraient tout simplement impossibles à satisfaire. […] Préparez-vous donc à une grosse déception. Cela vous permettra peut-être, au bout du compte, de ne pas être si déçu que ça."