Franchement, plus on en parle, plus on a l’impression que de toutes façons, tous les coureurs cyclistes sont dopés, ce qui n’est pas le cas. Alors pour lever les doutes et éviter la suspicion, pourquoi ne pas autoriser le dopage ?! Au moins tous les coureurs partiraient avec les mêmes chances, et ainsi on verrait qui est vraiment le meilleur ! En plus, il y aurait davantage de spectacle car les dopés (Vino, Rasmussen, Moreni, Contador (?) ), qu’on le veuille ou non, sont plus intéressants à voir que les bons derniers qui arrivent 25 minutes après et qui n’accélèrent pas avec panache dans les pentes à 10% !
Arrêter la diffusion du Tour à la télévision ? Pour nous remettre l’inspecteur Derrick en Juillet ? De toutes façons, on constate que les audiences TV sont toujours bonnes malgré les cas de dopage…
Jeu de briques
Snake
Pacman
Bubble
LES COMMENTAIRES (1)
posté le 27 juillet à 00:07
Autoriser le dopage... pourquoi pas ? peu importe le moyen, seul le but compte alors... Peu importe de se détruire si cela permet d'atteindre une performance même éphémère... La compétition sera alors à son paroxysme. Ce sera à celui qui sera le plus chargé et qui survivra malgré tout jusqu'à la ligne d'arrivée... Et comme on sublimera ces nouveaux héros, cela incitera tout le monde à suivre l'exemple. tous les amoureux de cette nouvelle forme de sports. On se dopera, non plus pour la performance, mais pour ressembler à notre star qui se dope...
Est-ce vraiment si irréaliste ? Le premier marathonien mourut à la fin de sa course... ET on est parti de ce symbole pour créer les jeux olympiques. On les a trouvé beaux, sublimes. On a même poussé l'hypocrisie en prétendant que seule la participation comptait... Merci Coubertin... mais il ne fallait pas poser de classement si telle était vraiment la philosophie du sport olympique. Ni record, ni classement. Juste un partage. Mais cela n'aurait pas créé de vedette. Pas d'étoile. Pas de héros. Pas de demi-Dieu... La solution est peut être là... se détourner de la compétition pour juste prendre le plaisir de l'écoute de soi et des autres. Le plaisir du partage de l'effort.
Disons qu'à un moment donné, on se rendra compte que le sport et la compétition ne sont que des divertissements. Autrement dit des détournements de l'essentiel. Alors plutôt que d'apprendre à se connaître dans ses limites ( c'est un peu ce que l'on fait avec le dopage quand on se charge à fond. C'est aussi ce que l'on fait dans le sport de haut niveau... repousser sans cesse nos limites.) Alors plutôt que d'apprendre à repousser nos propres limites, on en viendra à rechercher le centre. apprendre la modération. Apprendre l'effort qui est dans le respect de qui nous sommes. Un équilibre à affiner constamment. Enfin, une pratique sans compétition et sans dopage...