Motown

Pris la compil de Motown (L'ange Michael dit Motauw), et constate les effets de l'insidieuse musique sur mes collègues qui commencent à sautiller sur leur chaise, leurs lèvres s'étirent irrésistiblement en sourires dont le message est clairement: ben oui, on peut pas s'en empêcher. Héhé. Et moi je rêve au son de ce "this Kiss" criminel de Faith Hill, impossible de l'arracher de ma petite cervelle surchauffée. J'ai bien dormi, pas rêvé, fantasmé pendant les rares moments ou j'étais éveillée, il n'y a, en fait, plus de diffrérence entre la marge et sa limite. Pleazeeee, je ne veux pas tomber. Que l'univers me laisse voler. Pleazzzz, pas de sniper pour me tirer dessus quand je m'y attendrai le moins, parce que je crois que mon heure est venue...