Résumé : La médecine serait-elle devenue folle ? A-t-on le droit aujourd'hui de critiquer cette nouvelle religion où le médecin, véritable moine en blouse blanche, nous assène des connaissances
comme paroles d'Evangiles ? La médecine actuelle retire à l'individu la responsabilité de sa santé, infantilise et conditionne l'existence à la terreur des maladies. Une voix s'élève contre cette
dérive. Cette voix, c'est celle d'un libre penseur qui a choisi une philosophie de vie où la réflexion et l'action ne sont pas sous le joug du bien-pensant consensuel. Marc Menant nous propose
une réflexion solide, une mise en perspective historique des liens qui unissent la médecine et le religieux. Le style est celui d'un écrivain qui, là encore, fait oeuvre de liberté et
d'originalité.
Une pensée hors des sentiers battus, loin des arrogantes certitudes des spécialistes. ce livre participe d'une démarche citoyenne, il s'agit d'éthique et de liberté, de reprendre la maîtrise de
soi, de refuser la passivité et la manipulation, de vivre pleinement.
Extraits :
"Idyllique, le tableau. Et l'Académie a beau avec morgue rabaisser "obscurantiste" tout esprit
qui ose la critiquer, des chiffres accablants, reflets de l'autre morgue, celle des cadavres, brisent l'auréole de la science des sciences aux thérapies quasi miraculeuses. Incontestables, les
chiffres, livrés par le très sérieux réseau des centres régionaux de pharmacovigilance, des chiffres a minima - écarquillez bien les yeux - en France chaque année 1 300 000 personnes sont
hospitalisées dans le secteur public à cause de l'effet indésirable d'un médicament, et pour plus de 450000 d'entre eux l'état est considéré comme grave. Ces 1 300 000 cas représentent 10 % des
patients qui séjournent à l'hôpital. Là où le scandale atteint le comble de l'horreur, c'est avec le bilan des décès engendrés par la seule absorption des médicaments : 18 000 par an ! Le
phénomène ne se limite pas à l'Hexagone, le service de santé anglais déclare, lui, que le nombre de patients "tués sur ordonnance" a augmenté de 500 % en dix ans ! Quant à l'OMS, elle dévoile
que, selon les pays, les médicaments figurent entre la quatrième et sixième cause de mortalité.
Eh oui, la médecine nous tue ! Pourtant elle resplendit toujours, vénérable instituion, par le prodige d'une propagande qui retire à l'individu la responsabilité de sa santé, l'infantilise et le
place sous la terreur des maladies."
Vie sur ordonnance
"...Chez les enfants une enquête entamée en décembre 2005 et achevée en mars 2008 par le professeur Roland
Tubiana de l'INSERM établit que tous subissent au moins deux consultations par saison hivernale pour otite, rhinopharyngite, sinusite, pharyngite, que 8 millions écopent d'un traitement aux
antibiotiques souvent associé à la prise de corticoïdes en décongestion de la sphère ORL. Pas automatiques, les antibiotiques... D'autant plus absurde, la prescription, qu'ils n'agissent
pas, répétons-le, sur les virus responsables de ces infections dans neuf cas sur dix, et qu'un consensus d'experts mondiaux a établi en 1996 que ces pathologies guérissaient
spontanément en quelques jours ! Quant aux corticoïdes, leur effet anti-inflammatoire, c'est-à-dire leur capacité spectaculaire à gommer les symptômes, douleurs, irritations,
congestion, j'ai bien écrit "gommer" et non "guérir", ils sont prescrits dans la plupart des pathologies alors qu'ils ont des impacts redoutables sur notre physiologie. Terrifiant l'énoncé
sur leur nocivité : dérèglent les glandes surrénales jusqu'à les atrophier, trouble identique sur les muscles, perturbent la densité osseuse et prédisposent à l'ostéoporose, ralentissent la
croissance, provoquent de l'hypertension et de la rétention d'eau, favorisent l'accumulation des graisses, la précaution d'emploi stipule même qu'ils ne sont pas compatibles avec
l'administration de vaccin vivant, c'est-à-dire, le BCG, la varicelle, la fièvre jaune, le ROR... sans plus de précision sur la longueur de la période ainsi prescrite..."
La folie vaccinale
"Revenons à la vaccination des nourrissons. Véritables éprouvettes, les petits d'hommes ! Chaque vaccin inoculé à dose égale, quels que soient le poids, la taille de chacun, son alimentation, et
sans le moindre bilan clinique et biologique pour évaluer les capacités ou incapacités éventuelles de l'organisme à fabriquer des anticorps ! Au nom de la science, cet acharnement à la louche
sans personnalisation ! La science dont l'axiome est la rigueur, le plus infime détail démontré, maitrisé ! Dés lors, comment oser encore ranger la médecine parmi les sciences ? Enfin, serait-on
assez sot pour imaginer qu'avec des équations approximatives, et sans l'étude préalable d'un site, il serait envisageable d'édifier un viaduc, un barrage, une centrale nucléaire ? Que sans des
concepts à la précision draconnienne, la phénoménale technologie qui a bouleversé la société humaine existerait ? Comment admettre que l'introduction d'autant d'éléments -pour la plupart toxiques
- dans le système immunitaire en pleine formation ne modifie en aucune manière l'homéostasie (l'équilibre) naturelle qui se met en place dans les corps miniatures, et que le
contenu des injections n'ait aucune incidence sur les cellules en prolifération ? Ne pourrait-on pas nicher là la cause de la multiplication des cas d'asthme et
d'allergies ?..."
Site internet de Marc Menant : http://www.marcmenant.fr/1.html