Réforme de l'état Chiche monsieur le président?

Publié le 03 novembre 2008 par Gilles74

La RUPTURE HISTORIQUE INCONTOURNABLE

LA FUTURE REORGANISATION DE L'ETAT

  la REFORME  de l'état   est dans les cartons, de nombreuses  études  concoctées  par  de hauts fonctionnaires  "discrets" commencent  cependant à "TRANSPIRER."    Nous avons le triste privilège  de compter  en droits ouverts  plus  de 5 millions deux cent mille fonctionnaires  qui se répartissent  dans trois fonctions publiques. (les effectifs réalisés  donc payés  sont bien supérieurs  soit 25%  de la population active  du pays)       Une Fonction  publique   d'état, à la quelle  a été ajouté  depuis 1981  une territoriale  qui a vu  ses effectifs croître  de façon inconsidérée  et une troisième dite hospitalière  qui elle aussi, a vu  ses effectifs gonfler anormalement  quand  les maires présidents  de conseils d'administration  de leurs hôpitaux ont utilisé  ce moyen  pour soigner le malaise social  en recrutant inconsiderement  des personnel "électeurs"    Entre 1981  et aujourd'hui ce seront plus  d'un million  et demi  de fonctionnaires  que notre état a embauché  avec les collectivités territoriales  sans s'assurer  que le budget  de l'état  était  en mesure  de payer  les salaires  et pire encore les retraites.     C'est cette réalité dramatique  qu'aucun politique  ou dirigeant  de notre pays  veut  tout simplement  dire  et expliquer aux FRANCAIS.    Pourquoi une telle dérive, pourquoi avoir accepter  de couler l'état?   Pourquoi  la droite  de retour au pouvoir  n'a t elle pas endigué  cette dérive  dont chacun connaissait  les effets  inévitables  sur le long terme?     Une  des deux fonctions publiques  est de trop. toute personne sensée  qui se saisit  de ce dossier  en prend inévitablement  conscience.     Mais  que faire?   Rien  comme l'ont fait  tous les gouvernement depuis 1986  après le recrutement   des 600 000 premiers nouveaux fonctionnaires?    Les gouvernements  suivants ont poursuivi cette dérive  en atteignant  fait incroyable:  un million  et demi  de fonctionnaires  de plus  qu'en 1981  date d'arrivée  de la gauche au pouvoir.    La réforme  inévitable  ne pourra donc  s'imaginer  que  dans une nouvelle logique  et l'organisation  qui en découlera.    Les 36 000 communes Françaises  aussi nombreuses  que l'ensemble  de toutes les communes  de l'ensemble  des autres  pays Européens devront  être supprimées  et laisser la place  à de nouvelle structures  riches  en fonctionnaires  (qui existent déjà et qui sont les communautés  de communes.)     Les Préfectures  devront être supprimées  ainsi  que les conseils généraux  pour être regroupés  au niveau  des régions actuelles  et sans doute mieux  encore  au niveau  des anciennes provinces royales  mieux adaptées  aux réalités géographique  du Pays  et  aux  réalités  européennes     Cette réorganisation  bouleversera totalement non pas notre mode  de vie  de citoyen  mais  les habitudes  des fonctionnaires  dont les postes redondants  fonderont comme neige  au soleil.     La justification  du département  créé  par Napoléon  qui plaçait  la préfecture à une journée  à cheval  de  tout citoyen  est absurde  aujourd'hui, mais  c'est cette raison   qui justifie  encore leur existence.     Le redéploiement   des tribunaux  qui est déjà  en cours montre à l'évidence le corporatisme  de certaines catégories  de citoyens  qui défendent avant  tout leur mode  de vie  que l'intérêt  général.    Ces premiers mouvements laissent augurer  demain  des manifestations  de tous  ces fonctionnaires  qui défendront avant  tout leur mode  de vie  que l'intérêt  général  des FRANCAIS.     Ces réformes seront  sans doute connues   dès les résultats  des municipales .  préparons nous  à des GRÈVES  autres  que celles  que nous avons connues  au cours  des dernières semaines.    Un référendum  sera  sans doute indispensable  et la suppression  des CDI  dans la fonction publique un impératif  comme l'ont voté  les SUISSES  il y a quelques mois seulement.   Cet ajustement  de notre fonction publique  aux possibilités financières  du pays a été mené depuis 20 ans par l'ensemble  de nos voisins, pourquoi  les gouvernements FRANCAIS  n'ont ils pas eu  ce courage?    La facture  sociale  en est déjà la conséquence  et l'adaptation inévitable  se fera obligatoirement  dans la souffrance  maintenant.   Un principe  devra  cependant  guider  ces déflations d'effectifs  ou mieux  ces transferts  du public  vers  le privé, en aucun cas  les fonctionnaires qui n'ont aucune responsabilité  dans le laxisme  des politiques devront en payer  le prix.    Tous ces transferts  ne seront sensés qu'à partir  du moment  où un volume  de postes équivalents aura été créé dans le privé.    La première démarche ne consiste  donc pas tant à réduire les effectifs  mais d'abord à créer les conditions de créations  de postes dans le privé. Créations  que seules les PME  armées pour affronter l'export pourront demain autoriser.