Le gros problème de nos classes, c’est qu’il y a toujours au sein d’un groupe d’une trentaine d’unités quelques élèves qui ne sont pas à leur place et qui choisissent, pour s’affirmer d’une façon ou d’une autre, de déranger, de provoquer, de démonter… Bref de jouer les trouble-fête. Alors, ils se complaisent dans ce rôle...
Ils ont en général les faveurs de certains gamins plus rangés
qui trouvent amusantes les pitreries du bouffon et qui ne tardent pas à vouloir les imiter. Ceci pour commenter le proverbe :
Quand le loup est dans la bergerie, les louveteaux tendent la patte
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