Puisqu'on est dans le blanc, et pour continuer à faire la publicité promotion des vins de terroir des producteurs recommandables, quelques notes vite fait sur de jolies quilles promptes à être descendues avec modération. Deux blancs et un rouge, en fait!
Côté Yin
La Grande Bruyère, Le Jambon blanc, Vin de table de France 2003, Philippe Jambon: la bouteille idéale pour convertir le végétarien aux délices subversifs et jouissifs de la charcuterie haut de gamme. Une véritable noix de Jambon blanc, partiellement découennée, qui fond dans la bouche comme un Esquimau au soleil ou abandonné à des mains expertes. Du gras, de la tension, de la droiture, de la richesse, de la fraicheur, un vin millésimé 2003 mais qui n'en a pas l'air. Y a bon, Jambon blanc!
Messieurs 2007, Vin de Pays des Côtes Catalanes, Les Vignes d'Elodie: issu de la vallée de l'Agly, 100 % grenache blanc et une grande fraicheur, sur des saveurs alliant fruits blancs et minéralité. Une jolie réussite pour un vin sans grande prétention.
Côté Yang:
Le Clos de la Belle Croix 2005, Vin de table de l'Orléanais, Reynald Héaulé: saluons cette jolie découverte des Zinzins du Vin, un vin de l'Orléanais tendance nature, frais et élégant, épicé et végétal (sur le bon côté du végétal), aux tanins souples et croquants. Une belle introduction à la thématique de demain pour les Vendredis du Vin.
Olif
* m... blanche, © Cancoillotte.net: c'est blanc, ça vient l'hiver et ça ne sent rien, mais c'est un peu merdique quand même. Surtout quand on n'a pas de pelle!
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