A défaut de pouvoir taxer les prostituées ou leur proxénète, le bourgmestre de Crisnée vient d’inventer la taxe tabouret. Jusqu’ici les bars à filles étaient taxés indifféremment à hauteur de 3.000 euros. Certains petits tenanciers trouvaient dommageables de payer la même taxe que des établissements qui présentent un plus grand nombre de filles.
“La question était de savoir comment faire pour trouver un certain équilibre. On a donc imaginé de taxer les tabourets et tout autre moyen permettant de s’appuyer, s’asseoir ou se reposer”, explique le bourgmestre à nos confrères de La DH.
Le premier tabouret coûtera 2.000 euros. Ce sera la taxe de base. Pour les tabourets suivants, la taxe devient dégressive.
RTL