54% des femmes belges ont déjà flirté virtuellement alors qu'elles étaient en couple, et 10% d'entre elles ont déjà franchi le pas et trompé leur conjoint avec une personne rencontrée virtuellement.
Ces chiffres sont issus d'une enquête sur l'infidélité virtuelle réalisée auprès de 1.903 femmes pour le magazine Flair, qui publiera les résultats le mercredi 29 octobre. Les femmes estiment pourtant à une large majorité (64%) que l'infidélité virtuelle est aussi grave que l'infidélité physique.
A l'oeil
Pourtant, 54% d'entre elles ont succombé, révèle l'enquête. Cette drague virtuelle leur rend confiance en elles (40%) et les excite (29%). Peut-être trouvent-elles là un moyen de vengeance moins dangereux que le flirt réel.
Car les femmes surveillent leur conjoint de manière régulière. Ainsi, une sur deux avoue consulter en cachette le GSM de son partenaire et une sur quatre consulte ses mails et l'historique des sites web consultés.
Plus audacieuses
Il est plus facile de tromper son conjoint virtuellement, estiment 90% des femmes, qui soulignent qu'Internet est une vaste plate-forme de rencontres. Une femme sur deux aime aussi se faire passer pour quelqu'un d'autre. Virtuellement, les femmes sont plus audacieuses (une sur deux) et plus libertines (11,5%). 10,5% d'entre elles se font passer pour plus jolies qu'elles ne le sont vraiment.
Jalouses, les femmes sont également secrètes. Ainsi, 50% n'informent pas leur partenaire des propositions coquines qu'elles reçoivent par chat, mail ou sms. Il est vrai que 39% d'entre elles répondent positivement aux avances de l'homme virtuel et que 10% passent à la rencontre physique. ( Source : 7sur7 )