Alors que le tribunal de grande instance de Paris vient d’autoriser la commercialisation de la poupée vaudou à l’effigie de Nicolas Sarkozy (celle de Ségolène Royal ne faisait pas l’objet d’une plainte), il est temps de remettre en perspective la déferlante médiatique qui a entouré la parution de ce livre-objet. En dehors du bons sens, si l’initiative du petit éditeur français K&B ne méritait certainement pas une réaction si disproportionnée, c’est aussi parce que le concept est loin d’être original (sans remonter évidemment aux origines ancestrales des vraies poupées vaudous !)…