Ce bout de papier collé sur la borne de l'arrêt des bus du coin m'avait intrigué la semaine dernière.
Personne n'y a touché depuis. Je me demande qui a bien voulu faire passer la rumeur, en anglais, que les ondes des téléphones portables, «cassaient» l'ADN. Je savais que cela pouvait donner mal à la tête, mais casser l'ADN...
Cela dit, ce qui est le plus étrange, c'est que le message soit diffusé en anglais, dans ce nord-est de Kyoto où les anglophones sont assez rares ou ne font qu'emprunter le bus numéro 100 qui les amène du Pavillon d'Argent à Gion. Peut-être une de ces Américaines baba-cool passée par Katmandou avant de rejoindre Kyoto parcequ'on lui a dit que le bouddhisme était plus sympa ici.