C’est Roselyne Bachelot, elle même qui vient d’affirmer qu’un quart de la population française manquait de médecins dans sa zone de résidence, en raison de leur mauvaise répartition sur le territoire, en indiquant que les services de son ministère sont en train de construire la cartographie du territoire national, en cinq zones.
Analyser une problème est un premier pas en direction de sa solution, mais une fois exclu, tout au moins pour le moment , la remise en cause de la liberté d’installations, seules de puissantes incitations financières, également aujourd’hui exclus, pourraient inciter des médecins libéraux à venir repeupler les déserts médicaux.
Les futures Agences régionales de santé, qui auront également la responsabilité de la médecine de ville, n’auront pas d’autres solution que de faire fonctionner des centre médicaux multidisciplinaires avec des médecins appointés, pour répondre aux besoins de la population résident dans ces « déserts médicaux ».