Elèves de Claude Lévi Strauss

Publié le 29 octobre 2008 par Sheumas

The all cottage...

Homme, il faut se taire pour écouter le chant de l’espace qui affirme que l’ombre et la lumière ne parlent pas (ces gens méritent plus notre respect que notre curiosité : Monod).

   C’est un proverbe touareg que cite en le commentant l’arpenteur de désert qu’était le grand Théodore Monod. Je relis en ce moment des pages de Claude Lévi Strauss dont la leçon essentielle pour les générations futures est dans la même veine.

   C’est aussi la grande leçon du livre « Vendredi ou la vie sauvage », de son illustre élève Michel Tournier.

   Les élèves apprécient en général cette œuvre que je ne me lasse pas d’étudier avec eux : au lycée, c’était la version « Limbes du Pacifique », au collège, c’est la version « Vie sauvage »…


Une baigneuse inattendue monte sur le ponton de la plage de Torremuzza...