Quel rapport entre cette famille et le fou dangereux qui mène des expéditions punitives contre des femmes qu’il torture avec délectation ? Un mot, cent mots ou Sans un mot, la réponse se trouve dans ce dernier ouvrage d’Harlan Coben, qui m’a tenu compagnie durant mes trajets en RER.
Non seulement éléments romanesques et policiers se distillent équitablement tout au long du récit, mais en plus, la police ne reste pas seule maîtresse de l’enquête. Bref, un polar où l’intrigue ne cannibalise pas les problèmes quotidiens, comme dans la vraie vie.
Mon premier Harlan Coben risque fort de ne pas devenir le dernier.