Je suis affectif.
Irrémédiablement, déraisonnablement et violement affectif.
Au point que parfois mon cerveau envahi par mon affect ne m’est absolument d’aucune aide.
Un ami me parlait récemment en s’en étonnant du décalage entre l’immaturité affective dont je peux faire preuve et la perception intellectuelle des choses plutôt analytique et distanciée…