LOI n° 2005-158 du 23 février 2005 portant reconnaissance de la Nation et contribution nationale en faveur des Français rapatriés (1)
Article 1 : La Nation exprime sa reconnaissance aux femmes et aux hommes qui ont participé à l’oeuvre accomplie par la France dans les anciens départements français d’Algérie, au Maroc, en Tunisie et en Indochine ainsi que dans les territoires placés antérieurement sous la souveraineté française.
Elle reconnaît les souffrances éprouvées et les sacrifices endurés par les rapatriés, les anciens membres des formations supplétives et assimilés, les disparus et les victimes civiles et militaires des événements liés au processus d’indépendance de ces anciens départements et territoires et leur rend, ainsi qu’à leurs familles, solennellement hommage.
(…) Article 4 : Les programmes de recherche universitaire accordent à l’histoire de la présence française outre-mer, notamment en Afrique du Nord, la place qu’elle mérite.
Les programmes scolaires reconnaissent en particulier le rôle positif de la présence française outre-mer, notamment en Afrique du Nord, et accordent à l’histoire et aux sacrifices des combattants de l’armée française issus de ces territoires la place éminente à laquelle ils ont droit.
La coopération permettant la mise en relation des sources orales et écrites disponibles en France et à l’étranger est encouragée.
Le quotidien d’opposition Al-Badil (L’Alternative) a eu la bonne idée de publier le texte du roman sur son site (merci à Sylvie N. pour l’info !). Je profite de l’occasion pour rappeler que Al-Talassus (Le Petit voyeur) est également disponible en ligne (voir ce précédent billet), sans oublier l’indémodable Dhât (Les années de Zeth), en format “pdf”.
Comme on le constate avec le nombre de publications en ligne pour ce seul auteur, Internet est en train de compléter le travail des médias et fabrique aujourd’hui un nouvel espace culturel transnational pour le monde arabe.
Désolé pour les lecteurs qui ne lisent pas de l’arabe, mais il y aura certainement la traduction française bientôt. Et pour me faire pardonner, un second billet cette semaine !