D'après le cahier de tendances 2008-2009 du Groupe Marie-Claire, le sexe dit fort s’est mieux acclimaté au virtuel que les femmes. Les hommes sont même plus nombreux à rencontrer des personnes avec qui ils ont communiqué... dans le virtuel.
Autre différence, dans les habitudes de lecture. On parle souvent de l'inclinaison des femmes pour les romans, alors que les hommes seraient plus accros aux essais. Une autre divergence émerge sur internet. Le sexe dit faible passe deux heures par semaine à lire des livres sur support papier. Le sexe dit fort ne fait pas moins bien : le temps de lecture est même supérieur d'une heure et demi. Par contre, toutes ces lectures se font devant un écran : les livres, magazines et quotidiens se parcourent en ligne.
Pierre Zimmer (légende de la photo : Le livre électronique Reader Sony)