Pour la gênoise
4 oeufs
100g de sucre
125g de farine
5 cl d'huile d'amandes douces
un peu de beurre pour le moule
Pour la crème de garniture
2 oeufs
50g de sucre
1 cuill à café de fève de tonka moulue (sinon vanille)
10 cl de crème liquide (pourquoi pas allégée?)
1 feuille de gélatine
Pour les fraises
250g de fraises (mara)
30g de sucre (environ)
Pour la déco finale
quelques cuillèrées de confiture de fraise
environ 70g d'amandes effilées
Le gâteau
Régler le four à 180°.
Mettre les oeufs entiers et le sucre dans une casserole (ou un bain-marie) et faites chauffer en fouettant en permanence jusqu'à ce que le mélange triple de volume et épaississe. Comme ça:
Retirer du feu et continuer à fouetter juqu'au tiédissement de la préparation.
Ajouter alors la farine et l'huile d'amande douce. Mettre dans un moule beurré et enfourner 30 mn.
La crème
Faire exactement comme précédemment en ajoutant la tonka au mélange. Quand celui-ci est chaud, rajouter la gélatine préalablement ramollie à l'eau froide.
Battre la crème liquide en chantilly. La rajouter au mélange refroidi. Mettre au froid en attendant son utilisation.
Les fraises
Saupoudrer les fraise de sucre. Les laisser ainsi macérer pendant 3-4 heures. Vous allez obtenir un jus sucré que vous séparez alors des fraises avec une passoire ou un chinois.
Montage et finition
Couper le gâteau en deux. Imbiber le fond du gâteau avec le jus des fraises. Puis répartir les fraises dessus. Recouvrir alors les fraises de la crème épaissie puis mettre le dessus de la génoise.
Recouvrir le dessus avec de la confiture de fraises, puis avec les amandes que vous aurez fait grillé 8mn à 200°. Recouvrir éventuellement de sucre glace.
Si possible mettre le gâteau au freezer quelques heures avant de servir. Il n'en sera que meilleur (dans le mien, il n'y avait pas de place. Je l'ai donc mis au frigo).
J'ai servi le gâteau le soir de la fête du pain. Une bonne partie des visiteurs était partie, mais il a fallu diviser tout de même le gâteau en 24 parts! Donc voici une:
Tout le monde a adoré, et même Olivier, souvent avare de compliments, a laché: "tu en refais quand tu veux!"...