A force de dire que les indicateurs classiques de mesure (metrics) type taux de clics, PAP etc. ne rendent pas compte de l'impact réel des formats publicitaires sur le net, il fallait bien s'y attendre. Google qui n'est pas du genre à se pâmer devant les beaux discours sur la subjectivité du "brand engagement" et l'ineffable valeur du branding décide de puiser carrément à la source : dans le cerveau. Le neuro-marketing n'est pas une nouveauté en soi, mais si Google s'y met (voir cette fascinante présentation), cela pourrait devenir une tendance lourde.