« A partir du 14 décembre 2008, 15% de rames en plus sillonneront la ligne Paris/Rouen et 42 trains supplémentaires s'arrêteront chaque semaine à Val-de Reuil.
Plus ponctuels, mieux cadencés, plus confortables, favorisant l'intermodalité, les nouveaux trains, en particulier les 16 rames TER à 2 niveaux financées par la Région, feront halte dans une gare que les partenaires réunis, le 21 octobre 2008, en Mairie de Val-de-Reuil (SNCF, RFF, Conseil Régional de Haute-Normandie, Conseil Général de l’Eure, Communauté d’Agglomération Seine-Eure, Communauté de Communes Seine Bord, Ville de Val-de-Reuil) ont décidé de rénover en signant un document commun confirmant leur intention de lancer sans tarder les études techniques et financières qui permettront, en six mois, de définir le calendrier, le budget et la nature des travaux nécessaires à sa réhabilitation.
Mais pour sa première visite dans la 230ème gare du réseau SNCF, ainsi qu’il l’a souligné, son Président n’est pas venu les mains vides. 400.000 Euros seront investis par l’entreprise publique, sans même attendre les résultats de l’étude préalable, pour améliorer la signalétique et le confort des voyageurs. Un dispositif d’annonces sonores sera installé. Un système d’affichage, comparable à celui dont la gare Saint-Lazare vient d’être équipée, sera mis en place. Des caméras de vidéo surveillance, indispensables à la sûreté et à l’exploitation de la Gare, seront implantées. Ces crédits seront abondés par le système de bonus/malus mis en place par la Région, garant de l’exactitude des horaires, qui seront également affectés à la rénovation des gares de Vernon et de Val-de-Reuil.
Une gare plus sûre, plus moderne et mieux adaptée, c’est la promesse qu’avait faite le Président de la SNCF en acceptant, dès sa nomination, l’invitation du maire de Val-de-Reuil. C’est une promesse tenue et qui, en injectant d’ores et déjà près de 10% des fonds nécessaires à la modernisation de cet équipement, doit inciter les autres partenaires à concrétiser rapidement leurs engagements. »
Ce communiqué de la direction de la communication de la SNCF est rassurant. Il permet de mieux comprendre la démarche de Guillaume Pépy, son, président, qui aurait dû rendre publique cette information lors de sa visite car cet engagement de 400 000 euros n'est pas une paille.