Genre: Drame Avec Frank Langella, Michael Sheen, Rebecca Hall, Toby Jones, Matthew Macfadyen, Kevin Bacon, Oliver Platt, Sam Rockwell Réalisation et production : Ron Howard sur un scénario de Peter Morgan
Ron Howard (Da Vinci Code) le réalisateur vainqueur d'un Oscar®, porte à l'écran la joute orale électrique entre le président en disgrâce Richar Nixon et un "héritage" à sauver, et David Frost, une grande personnalitée de la télévision américaine, très people, et très jet-set, dans une histoire encore non publiée sur ce duel historique qui les a changé tous les deux. En reprenant au cinéma, les rôles respectifs tenus sur scène, Frank langella , qui remporta un Tony Award pour son invcarnation de Nixon, et Michael Sheen York, sont assez insignifiants!Pendant les trois années qui ont suivi son départ de la Maison Blanche; Nixon ne s'est plus manifesté. Mais en été 1977, l'homme de fer, l'ancien commandant en chef, accepte de s'installer dans le fauteuil de David frost, pour répondre du scandale du Watergate sous sa présidence, et qui met fin à son madat. Nixon en surprit plus d'un an faisaint de Frost son "confesseur télévisé" avec l'intention de "clore" le bec au showman anglais et reprendre sa place dans le coeur des américains. Dans l'entourage de Frost, son équipe affichait une certaine fébrilité quant à l'habilité de leur Boss devant l'ex président. Nixon éludera-t'il certaines questions, concernant son rôle dans l'un des plus grands scandales américains? Frost osera-t'il poser les questions qui s'imposent, à l'homme qui a bâti sa carrière sur des appromixmations? Pourtant, dès que les caméras se sont mis à tourner, les spectateurs ont eu droit à l'une des plus belle joute orale télévisée, où chacun dévoile une petite partie de sa vulnérabilité. Cependant, le film déçu le public Us, los de sa présentation cette semaine!
Frost/Nixon seulement recrée l'interview télévisée, et toutes les manoeuvres faites en coulisses, avant leur face-à-face devant les caméras, entre deux hommes et leurs camps respectifs, lorsque par moments les échanges, et arrangements étaient au point-mort. Cela n'a pas suffit. Comme à l'acoutûmée, j'ai été invitée à la vision-presse, et je rejoint les critiques américains..
Bande-annonce. Pas de très bonne facture, et en ce qui me concerne, même si Langella rempile pour la version grand écran, il me semble être une très mauvaise personnification de Nixon.
Le très malhabile et plein de défauts président Richard Nixon, personnifié par Franck Langella, est un vrai électron dans cette adaptation de Howard. Le personnage nerveux, chef de file du pays le plus puissant au monde, essaye tant et plus de déstabiliser David Frost, et ce sera du début jusqu'à la fin, un match inégal. Tout comme l'est le film du reste!
Pendant que Frost/Nixon déroule ses problèmes, Franck Langella en est un autre! En reprenant son rôle tenu sur les planches en 1977, avec lequel il obtint un Tony Award , équivalant des Oscars pour la télévision, le comédien ne délivre même pas une imitation, ni une personnification, il ne ressemble en rien à Nixon, et ne parle même pas comme lui. Doit-on dès-lors se dire, qu'après ses performances au petit écran, Langella considère ce rôle comme un cadeau du ciel sans plus...
En clair, il n'est pas certains que Frost/Nixon trouvera son public. Le film survole pratiquement tout de l'histoire du Watergate, et le scandale qui obligeât NIxon à démisionner, donc la joute verbale devient d'une grande monotonie. Il ne s'adresse en vérité qu'aux personnes qui aiment la politique, qui en comprends tous les rouages et finesses. Mais surtout, même si le spectateur peut découvrir les débuts balbutiants de la télévision des années 60, en le faisant entrer dans les coulisses, il n'en reste pas moins que ce scandale ne concerne plus les spectateurs d'aujourd'hui. Pour ces derniers, Le Watergate est loin, et depuis d'autres affaires bien plus croustillantes, ont fait les choux gras de la presse mondiale. En clair, je pense que Frost/Nixon est tout juste ciblé pour un public issu de cette époque. Car même Michael Sheen (Tony Blair dans The Queen") dans la peau du journaliste est bien trop tendre par rapport au mordant qu'affichait le vrai Frost!!
Avec aussi: Kevin beacon, Rebecca hall, Tobey Jones (Capote) Oliver Platt et Sam Rockwell.