The Big Bang Theory - 2x04 & 05
Alors que le 2x04 sombrait encore plus dans la redite et le poussif, le dernier épisode en date s'efforce enfin de bousculer le monde de nos geeks, et s'amuse même à faire des efforts de réalisation (des décors naturels !). C'est drôle et ça change, même s'il aurait fallu une seule unité de lieu pour en foutre plein la vue.
Mais on peut largement s'en contenter.
How I Met Your Mother - 4x04 & 05
Le 4x04 était un épisode très drôle (notamment le pré générique, énorme, et les interventions), tout en faisant évoluer les choses, et le 4x05 le surpasse en ajoutant cette dose de malaise, de tristesse infinie, qui fait de How I Met la crème des sitcoms actuelles.
Qu'est ce qu'on peut l'aimer, ce show.
The Shield - 7x06 & 07
L'intrigue s'emballe d'un coup avec ce couple d'épisodes, se rapprochant dangereusement de la deadline du series finale, et une conclusion qu'on imagine irrémédiable.
Ca ne peut qu'être dantesque, et on retrouve presque la pression de la saison 5.
Clairement ce qu'on fait de mieux à la télévision US.
Heroes - 3x05 & 06
Là aussi l'intrigue passe la seconde et balance tout un tas de révélations, en rapport avec les idées incongrues du season premiere.
Si on les a acceptées sans broncher, c'est génial, sinon on a le droit de passer un bon moment quand même.
Et Robert Foster, quand même, quelle classe.
Le problème du show reste son trop gros nombre de personnages, aux intrigues très inégales, et le fait de devoir toujours les relier artificiellement est une contrainte supplémentaire pour les scénaristes.
Et cela se sent à l'image.
Néanmoins, toujours fun et spectaculaire, avec une dose de noirceur pas désagréable (le marionnettiste), la série se suit sans déplaisir.
Entourage - 5x01 à 05
Toujours aussi classe, attachante, drôle, la série fait son grand retour et n'a rien perdu de sa verve. Dialogues mordants, bimbos et champagne, on oublie la finesse, ce show redéfinit la frime et se révèle aussi savoureux qu'a ses débuts.
Avec la carrière en berne de Vince, E en manager et les affres sentimentales de Johnny comme arcs cette saison, la série est passionnante et fun.
Récréation ultime.
Californication - 2x02 & 03
Moins trash et couillue que la saison précédente, mais pas moins intéressante, la série continue son petit bonhomme de chemin et restera attractive tant qu'elle assurera un frein de sûreté au manège ronflant du couple de Hank, celui-ci sombrant déjà dans la redite au bout de trois épisodes.
Pire, c'est l'acolyte de service qui a le droit aux scènes gentiment hardcores.
Ressaisis toi Hank !
My Name is Earl - 4x05 & 06
Rien de nouveau sous le soleil.
C'est toujours plaisant et drôle, mais la série s'enfonce doucement dans la monotonie.
Va falloir en mettre un coup, et pas avec un épisode façon Cops cette fois.
Chuck - 2x01 - Season Premiere
Mené tambour battant, l'épisode est une sacrée réussite, et la série a les moyens de devenir le divertissement obligatoire de cette année.
Et franchement, on y croit.
The Office - 5x02
Une série incontournable.
On a rarement vu show plus drôle, notamment grâce à l'attachement extrême que suscite les personnages.
Autant sitcom du réel que comédie farfelue, la série est toujours aussi culte.
South Park - 12x08 & 09 - Mid-Season Premiere
C'est totalement subjectif, mais South Park me fait mourir de rire.
Même dans ses épisodes les plus faibles.
Ici, on est un peu loin des heures les plus glorieuses du show, mais c'est complètement hilarant (attendez de voir ce que les auteurs pensent du dernier Indy) et toujours subversif.
Le 12x09 s'éloigne des scripts politisés pour relater une histoire de cour de récré, mais à la sauce South Park.
Pas la peine de dire que c'est foutrement drôle, et exploite encore la personnalité d'un Cartman plus fine qu'il n'y paraît.
Dexter - 5x03
L'intrigue ayant été bouleversée par le cliffhanger du 3x02, on assiste aux répercussions de ce rebondissement dans la vie de Dexter, dans une optique totalement opposée a ce qui avait été fait avec le personnage de Doakes.
L'épisode oublie un peu la noirceur et le cynisme habituel et se trouve même être touchant, surtout dans son dernier tiers.
Une évolution pas déplaisante (du moment qu'elle n'est pas définitive), pour une série qui arrive toujours à surprendre.
Gossip Girl - Season 1 Finale
On se sera bien marré avec le rebondissement complètement con du 1x16, mais force de constater que la série marche très bien comme ça, entre moments touchants, décalés ou drôle, lorgnant à la sensibilité appréciable, et d'autres éléments venus tout droits du soap, pestes diaboliques, couples qui se font et se défont, meurtres et mariages... Pas étonnant que la plupart des ados en soient fan, c'est étudié méthodiquement pour.
De là à continuer la série pour le plaisir, il faudrait vraiment une pénurie de show.
On s'en va plutôt se purger avec Skins, l'une des seules séries adolescente qui vaille le coup.
Grey's Anatomy - 5x03 & 5x04
Bonbon acidulé rafraîchissant et euphorisant, la série laisse tomber les états d'âme dépressif de Meridith pour deux épisodes réussis, drôles (le quartier de dermatologie) et spectaculaires (l'inondation).
C'est pour le mieux, et on se retrouve encore à glousser comme la plus atroce des midinettes.
On s'est encore fait avoir.
House - 4x04
L'épisode sonde la psyché du docteur et fait revenir Wilson pour l'occasion.
Très bien écrit, l'épisode est réussi, et ravira les fans comme à chaque fois que l'on se concentre sur le docteur.
True Blood - 1x04 & 05
Envoûtante, la série impose son rythme lent délicieux et son atmosphère, et le spectateur en redemande, notamment avec un 1x05 extrêmement réussi, dévoilant quelques zones d'ombres du vampire principal.
A commencer séance tenante.