C'est la crise, la récession, le bordel, on sait merci. Mais quelle euphorie, que de rebondissements! Quel fabuleux moteur que de se sentir en danger pour se forcer à carburer encore plus fort et surtout encore plus intelligemment. Des journées diablement pimentées, des nuits intolérablement blanches, et surtout les neurones sens-dessus-dessous. Les rencards pros multipliés, les Miles cumulés à gogo, et la franchise de dire avec le plus grand sérieux que rarement travail ne fut aussi passionnant. Mais... car il y a un 'Mais'... la contrepartie de cette phase euphorique qui ouvre beaucoup plus de portes qu'elle n'en ferme réside dans ce constat désolant: SO MANY MEN, SO LITTLE TIME*
(soupir)
Promis, je tâcherai d'être un peu plus bavarde la semaine prochaine à condition que mon esprit ne se fasse pas distraire par le combiné explosif dans lequel réside ma plus grande faiblesse.
*(rhooo oui ok, et such a wonderful hubby!)