L'erreur repose sur deux ou trois lettres :
La cour d'appel de Paris a ordonné, à cause d'une erreur d'écriture, la remise en liberté d'un violeur récidiviste présumé. Le 17 octobre dernier, Jorge Montes, un Français d'origine uruguayenne de 48 ans incarcéré à Fresnes, a obtenu de la chambre de l'instruction l'infirmation (au lieu de la confirmation) d'une ordonnance de rejet de demande de remise en liberté.
Elle est due d'abord au service du greffe - qui est un office libéral, indépendant du ministère, comme pour les huissiers - chargé de retranscrire la décision. Mais aussi au magistrat qui n'a pas relu la copie et vu le cas présenté, cela s'imposait dans le détail, à la virgule près. Une telle erreur…