Ce document rejette l'avortement, la destruction des embryons, l'euthanasie et demande la reconnaissance des racines chrétiennes pour défendre la liberté religieuse et interdire les persécutions des croyants. Le document final souligne que
"chaque vie est digne d'exister et a toujours la plus haute valeur [et] est un droit de chaque être vivant de l'espèce humaine quels que soient son age, sa santé, ses biens, sa position sociale, sa nationalité".
Ce document dénonce également la contradiction de l'Europe, qui, tout en ayant lancé et promu les droits de l'homme, permet aujourd'hui
"la diffusion de l'avortement, l'utilisation en vue de la destruction d'embryons humains à des fins expérimentales, l'euthanasie dans certains pays".
Les jeunes demandent donc
"la reconnaissance du droit à la vie de sa conception à sa mort naturelle [comme] conséquence rationnelle de la doctrine des droits de l'homme".