Les journalistes sportifs sont dans leur quasi-totalité des crétins finis au langage à la fois prétentieux et superficiel qui n'ont de journalistes que le nom, du fait de leur atavisme cocardier et de leur propension à utiliser un langage qu'ils estiment recherché - selon leur mauvais goût - alors qu'ils pourraient parler des choses qui sont plus simplement comme elles sont. Mais il faut faire image pour frapper le lecteur qui ouvrira la page en sirotant son petit noir au comptoir d'Au bon coin et dira à la cantonade "Là, c'est bien frappé ! Où vont-ils chercher tous ces mots que je ne connais pas ?" Journaliste sportif est pour moi un oxymore presque parfait.
Prenons comme exemple une dernière page…