D'ou la contre-offensive, depuis la rentrée, des hyper- et supermarchés. A grand renfort de dépliants déposés dans les boites aux lettres et d'encarts pub dans la presse, ils promettent d'impitoyable massacres des prix. Leur arme favorite, la "promotion" , sur une sélection de produits courants. Avec, souvent, des surprises au goût saumâtre.
Touchés au portefeuille par la crise, lassés par des mois de hausse des prix - 6,2%, de septembre 2007 à mai 2008, selon "60 Millions de consommateurs", qui a épluché 17 000 étiquettes -, les français remplissent moins leur chariot. Résultat, une baisse sans précédent du chiffre d'affaires des grandes enseignes: environ 4%, selon les dernières statistiques disponibles!
D'ou la contre-offensive, depuis la rentrée, des hyper- et supermarchés. A grand renfort de dépliants déposés dans les boites aux lettres et d'encarts pub dans la presse, ils promettent d'impitoyable massacres des prix. Leur arme favorite, la "promotion" , sur une sélection de produits courants. Avec, souvent, des surprises au goût saumâtre.
Dès la fin de l'été, c'est Super U qui a ouvert le tir, en lançant l'opération "prix bloqués". Puis le "hard discounter" Lidl lui a emboité le pas, suivi par Carrefour, qui a mis le paquet en augmentant de 40% son budget de communication sur les prix et les promos. En août, le groupe s'est offert de pleines pages dans les quotidiens pour annoncer des baisses de prix "jusqu'à -20%" sur 40 produits dont les tarifs seront "bloqués" jusqu'à la fin 2008. Aujourd'hui, l'enseigne annonce " 260 produits baissés-bloqués" supplémentaires, mais elle oublie d'indiquer leur ancien prix. Difficile de jurer qu'ils sont moins chers qu'avant...
D'ou la contre-offensive, depuis la rentrée, des hyper- et supermarchés. A grand renfort de dépliants déposés dans les boites aux lettres et d'encarts pub dans la presse, ils promettent d'impitoyable massacres des prix. Leur arme favorite, la "promotion" , sur une sélection de produits courants. Avec, souvent, des surprises au goût saumâtre.